Un homme, une femme ?
Un personnage à part entière.
On ignore son âge, son origine, ou ses véritables intentions.
Ce que l’on sait, c’est qu’il* écrit ce que d’autres n'osent plus écrire.
Depuis ses premières lignes, Efsy Washington a choisi l’ombre. Il ne signe pas pour être reconnu, mais pour que ses mots restent.
Il n’écrit pas sous pseudonyme. Il est un pseudonyme.
Efsy semble éclater en voix, masques, fragments. Chaque roman ressemble à un nouveau personnage, une nouvelle incarnation. Est-il seul ? Est-ce un collectif ? Un écrivain qui s’est déjà brûlé sous un autre nom ?
Le critique belge Michel Dufranne, en direct sur la RTBF, indique qu'il pourrait être Marc Lévy.
D’autres lecteurs, troublés par certaines phrases sensibles, y voient la plume de David Foenkinos ou de Franck Thilliez, ce que ces derniers ont formellement démenti.
Mais le doute, lui, reste collé aux pages, et Efsy Washington aime semer le trouble.
La vérité ? Personne ne la connaît.
Elle ne se trouve pas dans sa biographie.
Elle se lit entre les lignes...
* "il" pour le personnage
